Le gacha ou gashapons sont des distributeurs de petites figurines à collectionner, contenues à l’intérieur de capsules transparentes en plastique. Inventées à la fin des années 70 par Bandai, on en trouve partout au Japon.
Le principe est simple, vous insérez des pièces de monnaie dans le distibuteur, vous tournez la manivelle, et une boule tombe. Le prix varie de 100 à 400 yens selon la taille et la licence de la figurine. La boule s’ouvre en deux à la manière des Pokemon Balls et à l’intérieur de ces boules, on trouve, en plus de la figurine, un petit dépliant montrant la totalité des figurines à collecter. La machine distribue les boules au hasard, donc la somme que vous pouvez y laisser afin de finir votre collection reste à la taille de votre patience et porte monnaie.
Bien avant le Pokemon Go, ce sont des machines très populaires au Japon, au point d’en trouver par dizaines alignées les unes à côté des autres ou sur tout un étage comme à Akihabara, au Yodobashi Akiba ou à Akibagacha, une boutique spécialisée dans le Gacha Gacha.
Vous avez déjà fait le tour des temples de Tokyo? Alors pourquoi pas aller voir un temple « underground »!
Construit entre 1992 et 2006 et situé à la périphérie de Tokyo, le « Metropolitan Area Outer Underground Discharge Channel« , plus communément appelé le G-Cans est un système d’égout pluvial souterrain qui se compose de cinq silos de confinement en béton d’une hauteur de 65m et d’un diamètre de 32m, reliés par 6,4 km de tunnels, le tout à 50m sous la surface du sol.
Mais surtout un réservoir principal de 177m de long, 78m de large et 25,4m de haut, surnommé « Le Temple » et qui avec ses piliers ressemblent à un sanctuaire majestueux et mystique.
Le G-Can est une destination touristique fascinante et lorsqu’ils ne sont pas inondées, des visites sont effectuées deux fois par jour, du mardi au vendredi, mais uniquement en Japonais. Contactez-nous pour un accompagnment.
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Le street-art s’invite parfois là où on ne l’attend pas.
Au Japon, depuis le début des années 1980, les bouches d’égout deviennent des œuvres d’art, les dessins étant décidés avec la participation du public, décorées et peintes avec des motifs représentant une spécialité de la ville, une mascotte locale, des lieux culturels locaux où elles sont installées ou rendant hommage aux personnels qui les utilisent, comme les pompiers.
La popularité de ces plaques a même donné naissance à un nouveau type de tourisme – « drainspotting » – où les voyageurs tentent de trouver les 6000+ modèles différents actuellement au Japon. Puis depuis quelques jours des cartes à collectionner, arborant d’un côté le design et les explications, avec au verso les coordonnées géographiques pour les trouvez.
Êtes-vous un grand fan du jeux vidéo Mario Kart de Nintendo? Eh bien, vous pourriez être intéressé par ces cosplayers Japonais qui donnent vie aux personnages de Mario Kart dans les rues de Tokyo.
Les pilotes Mario Kart peuvent être vu au volant dans les quartiers de Akihabara,Shibuya et de Harajuku et sont toujours heureux de poser pour des photos.
Vous pouvez aussi louer un go-kart et explorer Tokyo d’une manière différente, avec des prix à partir de ¥2.700 pour une heure à ¥10.800 pour une journée entière. Le go-kart se déplace à 55 km/h et vous pouvez même choisir d’enregistrer votre aventure sur une caméra Go-Pro installé à l’avant du kart.
Infos: https://kart.st/